EN XII CHANTS. Texte provençat et traduction française.
Le Poème du Rhône
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En lengua occitana
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Joseph Anglade siguec professor ena Universitat de Tolosa.
L’idée du présent travail date de plus de vingt-cinq ans..
Ce Dictionnaire comprend donc les 37,000 mots de Littré, plus 2,200 termes recueillis de part et d’autre. Il eût été facile d’en augmenter le volume en y faisant place aux proverbes dont la langue d’Oc est si pittoresquement émaillée, à l’explication des us et coutumes qui surnagent encore dans l’envahissement de l’uniformité désespérante où se monotonise l’univers entier, à la description de nos vieilles cités, à la généalogie des hommes qui ont illustré notre patrie ensoleillée ; mais, outre que ces données ont été déjà consignées ailleurs, le plan du présent livre devait le maintenir en un cadre restreint, dans un format accessible au grand nombre ; il ne comporte pas de développements historiques ni géographiques : il ne vise que la Unguistique, le lecteur n’y trouvera rien d’inutile. Nous avons néanmoins la confiance qu’il y rencontrera tout ce que l’état actuel des sciences et des lettres lui donne le droit d’y chercher: les idiotismes particuliers à notre Midi, l’expression propre qui échappe parfois, lorsque deux langues se côtoient, le mot pittoresque qui n’apparaît pas au moment désiré, l’abondance variée que l’éclatante floraison du Félibrige réclame de ses amoureux.
Dins del domini gascó, i alhora reflectint la situació occitana general, hi ha una variació interna notòria entre les diferents varietats que omplen el territori. En aquest sentit, el comengès, que enclavem en el gascó pirinenc oriental (subdialecte que abasta una zona que comprèn la Vall d’Aran, l’àrea de La Varossa, el Comenge meridional i el Coserans), es diferencia d’una manera prou evident d’altres variants més occidentals, justament per la seua condició de parlar fronterer, situat en una zona interferencial, en paraules de Bèc (1968), entre el gascó i el llenguadocià. El treball que prossegueix mira de fer una descripció d’alguns aspectes fonètics i lexicals d’un dels municipis de parla comengesa, Era Barta d’Arribèra, localitzada estratègicament a pocs quilòmetres de Sent Gaudenç, capital històrica del Comenge i de l’antiga comarca del Nebosan.
Orthographe et prononciation, Grammaire et syntaxe, Lexique A à ZHéritière du latin, la langue d’oc s’est formée dans la continuité de la désagrégation de l’empire romain. On fixe généralement le XI ème siècle comme la période achevant définitivement la formation de la langue nouvelle. Dès ses origines, comme pour les autres langues latines, la langue d’oc présentait des variations régionales, dont les grands dialectes actuelles sont les continuateurs.
Le mot occitan, ancien mais quasiment inusité pendant longtemps, est aujourd’hui admis pour désigner l’ensemble des parlers prolongateurs de l’ancienne langue d’oc. Il remplace vantageusement le terme provençal autrefois utilisé avec le même sens.
Il est de nos jours couramment admis de classer les parlers occitans en six dialectes: le limousin, le gascon, l’auvergnat, le languedocien, le vivaro-alpin et le provençal. Cette classification, basée sur des critères uniquement linguistiques, ne recouvrent toutefois pas la délimitation des provinces de même nom. Au sein de l’Occitanie, le vivaro-alpin lui-même souffre d’un défaut d’identification sociale claire, et il est souvent désigné sous les noms de ‘dauphinois’, ‘nord-provençal’, ‘gavot’, ‘provençal-alpin’.
“Singing to another tune” is from Las Leys d’amors (The Laws of Love), a poetic treatise compiled by Guilhem Molinier in the first half of the fourteenth century. Guilhem’s phrase pertains to a compositional technique known to modern scholars as contrafacture, in which the troubadour fashions new lyrics after the poetic structure of a preexistent song, thereby allowing his work to be sung to the earlier melody. The technique of contrafacture is documented not only by Guilhem and contemporaneous theorists but also by the troubadours themselves, who on a number of occasions acknowledge composing a poem “el so de,” or “to the tune of” another composer. Both theory and practice demonstrate that structural imitation came to be most closely associated with several specific genres, including the sirventes (moralizing piece), tenso (debate song), coblas (song of few strophes), and planh (lament), their poetic structures commonly modeled after those of the canso, the dominant genre of troubadour composition. Despite abundant structural indications of contrafacture within the troubadour repertoire, melodic traces of the practice are surprisingly scant. Confirmation of melodic borrowing depends upon the preservation of a model and its contrafactum with their concordant musical readings, yet the small proportion of surviving troubadour melodies (with only one in ten lyric texts transmitted with its tune) poses a significant impediment to melodic corroboration. Only three sirventes have been preserved with melodies that duplicate those of preexistent cansos. In the remaining instances in which a sirventes, tenso, or other imitative type is preserved with a melodic unicum, scholars of troubadour song have tended to maintain that, absent melodic corroboration, the tune must be presumed original rather than borrowed. In view of the sparseness of the musical record, however, one should give consideration to an alternate interpretation, namely that the tune preserved exclusively with a given troubadour’s sirventes and thereafter transmitted as his invention may actually have been borrowed from a preexistent canso whose melody is no longer extant in its original setting. Isolating viable structural models for such suspected contrafacta allows the possibility of reascribing potentially borrowed melodies to their original composers. The study of contrafacture can thus lead us to question the received attributions of a number of tunes, thereby posing a challenge to the readily made assumption that the manuscript rubrics consistently pertain to both text and melody. By examining several suspected cases of contrafacture within a web of relevant indices– e.g., generic norms, intertextual correlations, socio-historic context, rhetorical motivation, transmission, and melodic style– we gain greater insight into a compositional technique that indelibly marked the art of the troubadours.
Manual simple e eficaç per debutar un aprendissatge de l’occitan (var. lengadocian).
Joan Rigosta (en francés Jean Rigouste, Senalhac del Causse, 25 de novembre de 1938) es un pedagòg e lingüista occitan especializat en toponimia. Foguèt ensenhaire de letras als licèus d’Agen, de Merinhac e de Brageirac. Trabalhèt tanben a l’IUFM d’Aquitània e a l’Universitat de Bordèu III.
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