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Mirèlha (Occitan Provençau)
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En lengua occitana
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Orthographe et prononciation, Grammaire et syntaxe, Lexique A à ZHéritière du latin, la langue d’oc s’est formée dans la continuité de la désagrégation de l’empire romain. On fixe généralement le XI ème siècle comme la période achevant définitivement la formation de la langue nouvelle. Dès ses origines, comme pour les autres langues latines, la langue d’oc présentait des variations régionales, dont les grands dialectes actuelles sont les continuateurs.
Le mot occitan, ancien mais quasiment inusité pendant longtemps, est aujourd’hui admis pour désigner l’ensemble des parlers prolongateurs de l’ancienne langue d’oc. Il remplace vantageusement le terme provençal autrefois utilisé avec le même sens.
Il est de nos jours couramment admis de classer les parlers occitans en six dialectes: le limousin, le gascon, l’auvergnat, le languedocien, le vivaro-alpin et le provençal. Cette classification, basée sur des critères uniquement linguistiques, ne recouvrent toutefois pas la délimitation des provinces de même nom. Au sein de l’Occitanie, le vivaro-alpin lui-même souffre d’un défaut d’identification sociale claire, et il est souvent désigné sous les noms de ‘dauphinois’, ‘nord-provençal’, ‘gavot’, ‘provençal-alpin’.
Joseph Anglade siguec professor ena Universitat de Tolosa.
L’idée du présent travail date de plus de vingt-cinq ans..
La langue d’oc ou occitan représente, à coté du catalan, du français, du francoprovencal, du castillan, [.] une des grandes langues romanes ou néo-latines qui se sont développées a partir d’une symbiose entre le latin populaire.
Pierre Bec ei professeur à l’Université de Poitiers, ancien Président de l’Institut d’Etudes Occitanes, ancien Directeur du Centre d’Etudes Supérieures de Civilisation Médiévale.
De A autant d’argent que de pesolhs à Virar coma un baciu fagord, ce sont plus de 1000 expressions et dictons occitans, enracinés au plus profond de notre quotidien, qui sont réunis et expliqués dans cet ouvrage. A leur source, l’observation et l’imagination pour les unes : Aimable coma una mosca d’ase ; Aver d’argent coma un chin de nièras ; Aver un cuol coma un amolaire ; Cargat coma un muol; Curios coma un pet ; Dormir coma una missara. la musicalité et la rime qui facilitent la mémorisation pour les autres : Al mes d’abriu, Io cocut canta, mort o viu ; Auba roja, vent o ploja ; Cada topin troba sa cabucèla ; Es lo matin que la jornada se pèrd o se ganha ; Grèc, pluèja al bec ; La raça raceja. Tous ont été choisis par l’auteur à partir d’enquêtes et de lectures personnelles.
From Petrarch and Dante to Pound and Eliot, the influence of the troubadours on European poetry has been profound. They have rightly stimulated a vast amount of critical writing, but the majority of modern critics see the troubadour tradition as a corpus of earnestly serious and confessional love poetry, with little or no humour. Troubadours and Irony re-examines the work offiveearly troubadours, namely Marcabru, Bernart Marti, Peire d’Alvernha, Raimbaut d’Aurenga and Giraut de Borneil, to argue that the courtly poetry of Southern France in the twelfth century was permeated with irony and that many troubadour songs were playful, laced with humorous sexual innuendo and far from serious; attention is also drawn to the large corpus of texts that are not love poems, but comic or satirical songs. New interpretations of many problematic troubadour poems are offered; in some cases the received view of a troubadour’s work is questioned. New perspectives on the tradition as a whole are suggested, and consequently on courtly culture in general. The author addresses the philological problems, by no means negligible, posed by the texts in question, and several poems are re-edited from the manuscripts.
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